Un primate de la taille d’une souris

A peine plus grande qu’une souris, le microcebus détient plusieurs records du monde, dont le titre du plus petit lémurien de la planète. Cet animal est tout simplement adorable avec ses yeux globuleux ainsi que son pelage roux. Il a une longue queue et évolue dans les arbres. Cette espèce vit exclusivement à Madagascar. Cette grande île de l’Océan Indien se trouve à l’ouest de La Réunion (974).

Le microcebus gris, le redoutable chasseur nocturne

En tout, la grande famille des microcebes compte 16 sous-espèces. La variété à pelage roux reste la plus populaire, notamment grâce à sa petite taille. Cette représentante de l’espèce vit dans les fôrets humides de l’est. Elle se nourrit essentiellement de fruits, de fleurs ou d’insecte. De son côté, le microcebus gris a choisi l’ouest de l’île. Dans cette partie, le climat est plus sec. Cette deuxième variété a une taille plus grande et chasse des petites proies telles que les caméléons.

D’autres éléments bons à savoir sur ce lémurien

Les microcebus sont des lémuriens nocturnes. Ils se nourrissent la nuit pour échapper aux prédateurs. En effet, ils sont chassés par les oiseaux et les serpents. Le fosa, le mammifère proche des félidés qui vivent sur l’île représente également un danger pour tous les lémuriens, y compris les plus petits de l’espèce. Pour comprendre cette crainte, vous devriez voir le premier volet du film d’animation « Madagascar », de DreamWork Studio. Ce serait encore mieux si vous pouvez venir admirer le plus petit lémurien du monde sur la Grande île.

Des noms avec des significations

Vous pouvez nommer votre hamster Debbie, ce nom est un des diminutifs de « Déborah ». Ce dernier fait référence au caractère doux qu’a votre animal de compagnie. Vous pouvez aussi donner ce nom à votre lapin ou à votre cochon dinde. Lenny est un nom qui fait référence à un personnage dominant. Idéal pour un chien, ce nom est souvent associé à l’intelligence et l’indépendance. Les noms sont nombreux, mais lorsque vous faites le choix, il va falloir se référer sur certains critères.

Comment choisir le nom de son animal ?

Le chat n’est pas un animal très sociable et même si vous l’appelez par un nom « mignon », il se peut qu’il ne vous réponde pas. Il adore tout ce qui est en liaison avec son miaulement, donc choisissez un nom du genre « minet ». Pour le chien c’est différent, le nom a beaucoup plus d’importance, mais il est préférable d’avoir un nom court, en deux syllabes maximum. Ceci facilitera l’association avec le dressage verbal. Sachez que le prénom n’a aucune influence sur l’animal donc si vous l’appelez Albert, ce n’est pas un problème. Cependant, choisissez bien le nom, car une fois que l’animal y est habitué, le changement de nom devient plus difficile.

Le blaireau est reproché d’affaiblir le sol

Comme ses cousins mustélidés, le blaireau est un terrassier qui creuse dans le sol pour créer des trous. Les habitants qui vivent près de son écosystème ont tendance à tuer l’animal afin d’éviter la multiplication de ses forages. Or, il est démontré que cet acte contribue à l’équilibre de l’écosystème et que la chasse n’offrirait aucun avantage.

Le blaireau source de dégâts dans les champs agricoles

Les agriculteurs français en particulier les producteurs de maïs pensent que c’est le blaireau qui est le principal ravageur de leurs champs de culture. De ce fait, la chasse au blaireau est de coutume dans ces zones agricoles. Pourtant, les rongeurs comme le blaireau sont capables d’éliminer les vers blancs plus que les répulsifs chimiques, ce qui améliore fortement la qualité des produits agricoles.

Le blaireau victime de chasse cruelle

Les rongeurs sont déterrés de leur habitat avant de passer dans des filets de barre à miner et de mettre fin à leur vie. Les chasseurs font cet acte cruel en période autorisée, ce qui ne les rend pas illégaux devant la Loi. Hormis les craintes des agriculteurs sur l’invasion des blaireaux dans leurs champs, il est pourtant constaté que certains chasseurs font leur acte par pur loisir. Devant ce fait l’Association pour la Protection des Animaux sauvages ASPAS a lancé une pétition contre l’abus de la chasse au blaireau et a recueilli près de 90 000 signatures pour demander une révision des mesures législatives sur cette chasse.

En bâtiment sur caillebotis

Ce système est le système le plus répand en France dans l’élevage porcin, environ 95% des porcs sont élevés par le biais de celui-ci. Mais le système est aussi très prisé dans les autres pays européens, et partout dans le monde. Le bâtiment est conçu avec un sol ajouré, d’où le nom de caillebotis. Et en bas du sol se trouve des fosses spécialisées qui récoltent toutes les déjections et l’eau de lavage du local. L’avantage est de permettre l’évacuation immédiate de toutes les déjections des bêtes dans les fosses destinées à cet effet, appelées fosses à lisier plus précisément. Ce système est propre, les porcs profitent d’une espace propre en permanence.

En bâtiment sur litière

A la différence du caillebotis, le sol n’est pas ajouré mis fabriqué en dur : en béton. On y dépose ensuite une litière qui est souvent constituée de paille, de copeaux de bois, etc. Cela demande plus de travail car la paille doit être changée régulièrement et la tâche est assez difficile : il faut plus d’une personne pour s’en charger.

En bâtiment en plein air

Comme son nom l’indique, les porcs sont ici élevés à l’extérieur, en plein air. Mais il faut cependant protéger les animaux des variations de température car ils en sont très sensibles. L’éleveur doit mettre en place des abris fiables avec une toiture conçue en tôle de préférence. Les bêtes doivent aussi être gardées et protégées contre les animaux sauvages : il faut délimiter l’espace avec des clôtures.

Une cohabitation selon les sexes

Si vous prévoyez de faire cohabiter 2 mâles non castrés, attendez-vous à ce qu’ils se querellent tout le temps et même s’entretuer. La cohabitation entre 2 mâles castrés peut être envisageable mais vos deux animaux vont passer beaucoup de temps à se bagarrer mais de manière plus calme. Deux femelles stérilisées peuvent être une option à envisager à condition que l’une d’entre elle ne veuille pas dominer l’autre. Quant à des femelles non stérilisées, la cohabitation est quasi impossible parce qu’il y a un risque de bagarres de manière fréquente. La meilleure option est de faire cohabiter un lapin et une lapine stérilisés car les risques ou accidents sont inexistants.

Une cohabitation selon la race

La race ni la taille se posent pas de problème dans la cohabitation des lapins. Vous pourrez croire que votre lapin nain sera effrayé à la présence d’un lapin Flandres, mais ce ne sera pas du tout le cas. Ils arriveront à exister ensemble sans que l’un soit dominé par l’autre. Toutefois, une cohabitation de même race est fortement recommandée.

Une cohabitation selon l’âge

De l’avis des connaisseurs en la matière, il est très avantageux d’opter pour une cohabitation de lapins ayant le même âge c’est-à-dire les jeunes avec les jeunes et les vieux avec les vieux. Le fait de faire cohabiter 2 lapins de générations différentes peut générer des risques de chamaillade parce que le vieux ne supportera pas le comportement insolent et frivole du jeune. Tandis que ce dernier n’acceptera pas l’autorité exercée par son ainé.

On distingue tout un panel d’espèces de dauphins réparties dans le monde entier. En voici quelques une des races les plus connues.

Le dauphin commun

On retrouve cette espèce dans presque tous les océans de notre planète. C’est une espèce très répandue et qui peut être à bec court ou à long bec. On le reconnaît tout spécialement par laa couleur spécifique de sa peau. Ses flancs sont clairs, tandis que son dos est sombre.

Le dauphin tacheté tropical

C’est un dauphin qui apprécie vraiment la compagnie. En général, c’est une espèce qui sillonne les océans en groupe. Il est même possible de le voir en compagnie d’autres espèces. On reconnaît facilement cette race de dauphin grâce à la couleur blanche de son ventre, de son dos gris foncé et de ses flancs légèrement plus clairs. Le tout est recouvert de tâches. Le dauphin tacheté tropical, comme son nom l’indique, vit dans les océans tropicaux dont la température est de plus de 22 ° C.

Le dauphin de Risso

Il n’est pas difficile de reconnaître cette espèce. Elle se distingue par sa peau qui est entièrement recouverte de cicatrices. La couleur de sa peau est un véritable contraste de gris et de blanc. Aussi, sa tête est bombée et on remarque la rainure de son bec à l’évent. Ce dauphin porte le nom du naturaliste français Antoine Risso. On le voit le plus souvent dans les océans des îles britanniques ainsi qu’en mer méditerranée.

Le dauphin de Commerson

Cette espèce doit également son nom à un naturaliste-explorateur français, Philippe Commerson. C’est un tout petit dauphin. On le reconnaît par sa couleur bicolore : noir et blanche. Mais, elle se distingue aussi très facilement par sa toute petite taille puisqu’elle mesure à peine 1,50 mètre de long. C’est une espèce qui navigue toute particulière dans l’océan Pacifique et dans l’océan Indien.
Il est à noter que ce ne sont que des exemples d’espèces de dauphin. Il existe encore beaucoup d’autres espèces.

Le choix de l’aquarium

Il est possible que vous ayez déjà un aquarium à votre disposition pour accueillir vos futurs poissons domestiques. Pour l’élevage se fasse dans les meilleures conditions, assurez-vous en premier lieu que votre aquarium bénéficie d’un parfait emplacement. Pour cela, il faut éviter de le placer face à la lumière du jour c’est-à-dire à proximité des fenêtres mais également à côté des appareils qui envoient une forte chaleur. Après l’emplacement, vérifier que tous ses composants fonctionnent parfaitement : chauffe-eau, éclairage, filtration, etc. Enfin, vérifiez le pH de l’eau contenue dans le dispositif.

Le nombre de poisson dans un aquarium

Bien que vous ayez différentes préférences en matière de poisson domestique, il ne faut pas se laisser tenter par une surpopulation de l’aquarium. De plus, il faut que vous compreniez que vos poissons vont grandir donc une fois devenue adulte, la taille de votre aquarium ne pourra éventuellement plus les contenir. Pour vous donner une idée, sachez qu’un poisson adulte a besoin d’un litre d’eau au moins pour un centimètre de plus.

La compatibilité des poissons

Il faut prendre en compte la compatibilité des poissons. Il vaut mieux ne pas mélanger les gros poissons avec les petits puisque ces derniers risquent d’être mangés par les premiers au bout de quelques jours. Par la suite, vous devez connaitre le comportement des poissons. Il y a ceux qui sont dociles et ceux qui sont très voraces. Il n’est pas conseillé de les faire cohabiter. Le mieux serait de demander des conseils auprès du vendeur.

A quoi ressemble une volière extérieure ?

Il existe plusieurs formes de volière sur le marché. En tout cas, il s’agit d’une cage grillagée au travers de laquelle vous pouvez observer les vols de vos oiseaux. La taille varie selon l’espace dont vous disposez sur votre balcon ou dans votre jardin. En tout cas, vous pouvez ajouter une petite cabane dans votre volière extérieure pour permettre à vos oiseaux de profiter d’un endroit isolé. Quant à choix de vos oiseaux, prenez toujours en compte les conditions de vie de l’espèce s’il peut supporter les conditions climatiques de votre région (température, courant d’air, taux d’ensoleillement, etc.).

Quelles races d’oiseaux choisir pour la cohabitation ?

Vous pouvez choisir d’élever quelques oiseaux de même race. Mais sachez qu’il est aussi tout à fait possible de faire cohabiter des oiseaux de race différente. En tout cas, faites attention aux prises de bec. Les becs droits et les becs crochus s’entendent mal et peuvent se blesser s’ils vivent ensemble. Préférez donc d’élever uniquement des becs crochus ou des becs droits. Les becs droits peuvent parfaitement vivre en volière avec seulement une bonne isolation et une lampe chauffante pour l’hiver. Vous pouvez vous tourner vers les petits oiseaux comme les moineaux du Japon ou les mandarins. Vous pouvez également élever des diamants de Gould, mais ces oiseaux sont plutôt fragiles. Ils ont besoin d’un abri et d’un chauffage car ils ont du mal à s’acclimater. Des oiseaux à bec droit peuvent toutefois bien supporter le froid comme les Paddas de Java et les Canaris. Les becs crochus sont en général des oiseaux agressifs et la cohabitation est plus difficile à penser. Vous pouvez choisir des perruches, des inséparables, des perroquets, mais veillez à mettre une espèce différente dans chaque volière.

La préparation, une étape importante

Au préalable, vous devez laver votre cheval en début d’après midi pour lui permettre de bien se sécher une fois la nuit tombée. Il est judicieux que vous le laviez avec de l’eau tiède quelque soit la saison. Vient ensuite, la préparation des matériels que vous aurez besoin pour le lavage. Pour cela, munissez-vous d’une brosse, d’un peigne à crin, des serviettes et d’un escabeau si vous avez un grand cheval. Avant de commencer son lavage, attachez votre cheval et attendez qu’il soit calme. Avant le passage de l’eau, passez sur le corps de votre bête une étrille de façon circulaire pour enlever les différentes saletés qui se fixent sur son pelage.

Le lavage proprement dit

Pour ce qui est du lavage, commencer par laver sa tête avec de l’eau naturelle et essuyez aussitôt cette partie. Ensuite, vous allez mouiller le reste de son corps avant l’application du shampoing. Débutez votre jet d’eau à partir de ses sabots pour remonter doucement vers le haut de son corps. En ce qui concerne le lavage de ses parties génitales, il vaut mieux que vous utilisiez un chiffon ou un tissu doux imbibé d’eau. Une fois que le shampoing soit appliqué sur tout son corps, il faut frotter avec une brosse spéciale à cet effet. Après, il faut bien rincer l’animal pour qu’il n’y ait pas de résidu de shampoing sur son corps qui va causer une irritation de sa peau. Pour le séchage, vous pouvez utiliser des serviettes ou exposer votre cheval au soleil.

Prendre soin du hamster

Pour un rongeur, le hamster est de nature propre. Il sait lui-même entretenir son pelage puisqu’il fait régulièrement sa toilette. Cependant, son maître devrait prendre soin de son animal. Il n’est pas question de lui donner un bain. En effet, le hamster est un animal du désert. Ce qu’il aime spécialement c’est de se faire gratter avec une brosse souple.
Les griffes du hamster requièrent aussi des soins particuliers. Puisqu’il se bouge beaucoup que ses griffes s’usent régulièrement. Pour éviter de lui couper vaisseaux rouges, il suffit de limer les ongles du hamster et le tour est joué.

Nettoyer le nid du hamster

Puisque le hamster est en tout temps à l’intérieur de sa cage que celle-ci devient rapidement inhabitable. On y sent différentes mauvaises odeurs comme les excréments, la nourriture pourrie et différents déchets. Lorsque le maître nettoie la cage du hamster, il doit veiller à laisser le bout du nid le plus propre en place. En effet, le hamster a besoin de retrouver son odeur pour être à l’aise dans son petit chez lui. Le reste est à jeter impérativement. Par la suite, des mouchoirs sains et du foin frais vont aménager dans la cage.

Laver le biberon et la gamelle

Ces accessoires doivent quotidiennement être lavés. Le biberon doit être rincé abondamment avec de l’eau avant d’être réutilisé. Pour nettoyer la gamelle, il faut éviter d’utiliser autant que possible des produits lavant. En effet, ils contiennent beaucoup de produits toxiques pour les petits rongeurs.