Préparer son projet

Vous avez les qualifications pour ouvrir un chenil. C’est bien. Maintenant, pensez votre projet en commençant par la maîtrise des règles concernant les pensions canines.

Règlement à respecter

Si vous comptez accueillir moins de 10 chiens, vous devez vous informer du règlement sanitaire de votre département à respecter et déclarer votre pension à la Direction Départementale de la Protection des Populations (DDPP).

Si votre chenil compte recevoir 10 à 49 chiens, outre la déclaration à la DDPP, une déclaration à votre Préfecture est nécessaire. Par ailleurs, la première habitation proche de votre pension canine doit se trouver à 100 m au minium.

Si votre chenil est prévu pour accueillir plus de 50 chiens, il vous faut une autorisation par arrêté préfectoral.

Quel que soit le nombre de chiens que vous comptez prendre en charge, la loi exige que vous ayez un registre des entrées et sorties des animaux et que vous mainteniez un carnet de suivi sanitaire.

D’autres règles sont encore à respecter. Il faut notamment offrir un box (de 5 m² minimum, 2 m de hauteur) à chaque chien. Les box doivent être propres, avoir une bonne isolation thermique et une bonne ventilation et disposer d’un point d’eau accessible.

L’étude de marché

La connaissance des règles à respecter vous a permis de définir le nombre de chiens que votre chenil va accueillir. La deuxième étape consiste à effectuer une étude de marché. Elle vous permet de vous assurer que votre futur chenil répond à un besoin réel dans la zone de chalandise. Connaitre la concurrence à proximité et ses prestations (services, prix, etc.) vous permet d’évaluer vos chances de réussite. Cela vous aide déjà à trouver le bon emplacement pour votre chenil et à penser déjà à votre stratégie marketing.

L’étude de marché implique également de mettre en place un business plan. Il doit comprendre l’historique du projet, le budget pour l’ouverture d’un chenil, le modèle économique à suivre, le CA anticipé, la marge à cibler, etc. Il faut également que vous envisagiez des solutions à mettre en place pour anticiper les périodes creuses.

La recherche de financement

Votre projet d’ouvrir une pension canine demande un certain investissement. Il vous faut un budget pour l’achat des équipements (laisses, gamelles, jouets, etc.), la location d’un local, la création des box, le salaire des employés, etc. Il ne faut pas également oublier le budget pour la communication. À moins d’être riche, votre apport personnel ne sera pas suffisant pour l’ouverture d’un chenil. Vous devez, dans ce cas, envisager toutes les possibilités pour réunir le budget nécessaire à votre projet.

Nombreuses sont les solutions de financement. Vous pouvez envisager :
– de demander à vos proches d’investir dans votre projet
– de vérifier si vous êtes éligibles aux aides de Pôle Emploi, de la région, etc.
– de chercher des investisseurs en lançant par exemple une campagne de financement participatif
– de demander un prêt professionnel

La création de l’entreprise

Vous avez défini le type de chenil à créer, son emplacement, listé les équipements nécessaires à acquérir ou à faire construire, évalué le nombre du personnel à engager, etc. et trouvé une solution de financement. Il vous reste ainsi à créer officiellement votre entreprise.

Le choix du statut juridique

Vous avez le choix entre créer une entreprise individuelle (EI) ou une société.

L’entreprise individuelle :

Si vous ne comptez pas avoir des associés, cette forme juridique peut vous convenir. Elle est caractérisée par des démarches et des obligations plus simples à réaliser. L’entreprise individuelle a cependant quelques points faibles :
– vos bénéfices sont soumis à l’impôt sur le revenu
– vous serez affilié au régime social des indépendants avec un statut de travailleur non salarié
– vous ne pouvez pas embaucher des salariés

Une société :

La création d’une société est plus complexe que celle d’une EI. Ne soyez pas freiné par cela, car la création d’une société vous est plus avantageuse. Ce n’est pas sans raison si une grande partie des chenils en France optent pour la création d’une société.

Quel statut juridique pour sa société ?

La SASU ou la SARL

En créant une société, vous dotez votre entreprise d’une personnalité morale ayant son propre patrimoine. De ce fait, les démarches pour mettre en place une société sont donc plus complexes que celles d’une entreprise individuelle. Parmi les statuts juridiques que vous pouvez choisir pour votre société, il y a :
– la SASU : elle vous permet de créer seul votre société. L’un des avantages de cette forme juridique repose sur le fait qu’elle vous permet d’intégrer des associés dans les années à venir. La rédaction de ses statuts est également souple. En optant pour la SASU, vous acquérez le statut de salarié et êtes alors affilié au régime général de Sécurité sociale. Quant aux bénéfices, elles reposent sur l’impôt sur les sociétés.
– la SARL : si vous créez la pension canine à plusieurs, notamment avec votre conjoint, sachez que la SARL est adaptée aux projets familiaux.

Les autres démarches à respecter

Que vous optiez pour une SASU, une SARL ou une SAS, etc., les démarches pour créer votre société impliquent :
– la rédaction des statuts
– la déposition d’un capital auprès d’une institution financière
– la nomination d’un dirigeant
– la publication d’un avis de constitution dans un journal d’annonces légales où est implanté le siège social de la société
– etc.

La création d’une société signifie également des obligations comptables et déclaratives plus complexes. Pour que tout soit fait dans le respect de la loi, n’hésitez pas à engager un comptable professionnel.

Matériel nécessaire à la pension canine

Si vous disposez déjà d’un budget pour fonctionner et que les démarches administratives pour la création de votre pension canine sont presque terminées, vous pouvez commencer par faire l’achat du matériel nécessaire à votre chenil. Il vous faut :

– Du matériel

Les chiens ont besoin de jouets pour ne pas s’ennuyer dans leurs box. Il vous faut également des meubles et de divers accessoires comme des laisses, des gamelles, etc.

– De la nourriture pour chiens

Il vous faut prévoir des croquettes pour chiens et de la nourriture pour les chiots. Pour assurer la santé des animaux, vous pouvez également demander aux clients qu’ils apportent eux-mêmes les croquettes pour leurs chiens. Vous éviterez ainsi de changer l’habitude alimentaire des chiens (type de croquettes, marque, etc.).

– Des produits d’entretien et de soin

Les box des chiens doivent rester toujours propres. Vous devez ainsi avoir des produits d’entretien. De même, les chiens doivent rester propres. Il vous faut ainsi des produits de soin pour chien.

– Un moyen de transport

Pour acheter des produits ou transporter les chiens, votre pension canine doit disposer d’un véhicule de transport.

Pour quelles raisons jouer avec votre chien ?

Vous savez que jouer avec votre chien est important pour lui et pour la relation qu’il entretient avec vous. En fait, les moments de jeux renforcent l’affection qu’il y a entre vous et votre complicité. S’amuser avec lui l’aide aussi à oublier ses petites déprimes. N’oubliez pas qu’il reste seul à votre domicile toute la journée. Cette solitude peut engendrer des crises d’angoisse. En jouant avec lui, vous le calmez et l’apaisez.

Lorsque votre chien commence à vieillir, les jeux que vous faites avec lui l’aident à rester vigoureux, alerte et dynamique. Ces jeux sont aussi l’occasion pour votre chien de canaliser son énergie. Grâce aux activités physiques, il parvient à garder la ligne et à rester en bonne santé. Les jeux stimulent son attention. Ils instaurent un état de bien-être chez lui.

Pourquoi jouer régulièrement avec votre chien ?

Il est primordial que vous jouiez fréquemment avec votre chien. Mais lors de vos jeux, restez le maître. C’est à vous de diriger. Déterminez la durée du jeu et lorsque vous y mettez fin, faites-le-lui comprendre.

Autre chose : s’il n’est pas content et qu’il grogne contre vous, montrez que vous n’aimez pas son comportement. Par ailleurs, éviter les jeux après les repas pour ne pas déranger sa digestion. Ne jouez pas non plus avec votre chienne si elle est en gestation.

Adaptez les jeux à l’âge et à la maturité de votre chien domestique. Si vous voulez jouer à l’extérieur, vérifiez la zone de jeux avant de l’y emmener. Pour tout jeu qu’il réussit, ne manquez jamais de le récompenser.

Emmenez-le chez un vétérinaire

Une perte conséquente de poils peut être causée par différentes maladies :

. La dermatite parasitaire ;
. Le diabète ;
. Les allergies ;
. Le stress.

Pour avoir une idée précise de la situation, il est impératif de consulter un vétérinaire. Un diagnostic est effectué pour déterminer la cause de la perte de poils et des solutions pour l’éviter vous seront ainsi proposées. Vermifugez votre chien semestriellement pour éradiquer ses parasites intestinaux. Cet acte permettra de faire repousser ses poils plus facilement.

Favorisez la repousse des poils

La repousse des poils est importante pour le chien. Pour la favoriser et éviter une perte trop importante, il est important d’adopter les gestes suivants :

. Brossez les poils de votre chien quotidiennement. Utilisez une brosse de poils chien spécial pour favoriser la circulation sanguine ;
. Évitez les shampoings chimiques ;
. Évitez les bains trop réguliers ;

Des accessoires de repousses poils sont disponibles dans les animaleries les plus près de chez vous. Pour mieux vous informer à ce sujet, cliquez sur ce lien.

Faîtes attention à son alimentation

L’une des causes les plus récurrentes de la perte conséquente des poils d’un chien est une alimentation peu saine. Pour y pallier, misez sur les produits alimentaires bio ! Ils sont plus respectueux des particularités des races de chien et participent à la repousse rapide des poils.

Vous pouvez en commander directement sur le web en quelques clics et selon la quantité que votre animal domestique peut ingérer. Non seulement, cet acte participe au mouvement écologique mis en place par le gouvernement, mais permet également de garantir la santé de votre chien.

Faire appel à un vétérinaire

Tout comme l’être humain, les animaux de compagnie sont également assujettis aux problèmes de santé. Et dans ce cas, vous pouvez demander la visite d’un vétérinaire à domicile ou vous rendre directement dans le cabinet de vétérinaire. Un vétérinaire à domicile peut être urgentiste ou généraliste. Le vétérinaire urgentiste, encore connu sous le nom de médecin de garde, est celui qui se charge de fournir des soins rapides à l’animal. Il assure les gestes basiques participant à l’amélioration de l’état de santé de l’animal.
Comme un médecin, il opère et prescrit des ordonnances. Par ailleurs, le vétérinaire généraliste propose des soins plus complets. Le recours à ce professionnel est nécessaire si votre animal est souffrant et que vous ignorez la nature de la pathologie. Le plus souvent, il diagnostique d’autres maladies et effectue des soins préventifs. Le vétérinaire généraliste accompagne jusqu’au bout. Il peut se charger des soins de fin de vie en réalisant une euthanasie. Un vétérinaire peut être contacté par son association ou sur recommandation.

Tarifs de la consultation vétérinaire

Les tarifs de la consultation vétérinaire ne sont pas réglementés, que ce soit pour les soins de base ou ceux nécessitant des interventions plus complexes. Cela peut varier selon l’âge ou la nature de l’intervention. Logiquement, plus l’intervention est complexe, plus la facture sera élevée. Mais, comme toute autre activité, les tarifs sont plus ou moins harmonisés. Généralement, le coût de la consultation oscille autour de 50 euros. Pour soigner les maladies ou les fractures chez un animal de compagnie, il faudrait débourser environ 300 euros.
Ce prix peut s’envoler à 500 euros selon la gravité. En cas de maladies cancéreuses, l’intervention peut coûter jusqu’à 1 500 euros. De plus, il faut compter les frais d’hospitalisation. A la suite d’une intervention chirurgicale, il y a tout un panel d’examens à réaliser. Il s’agit des analyses sanguines et urinaires coûtant en moyenne 60 euros et des séances de radiographie allant de 40 euros à 70 euros.

Comment faire des économies sur les frais de santé ?

Vous le savez, les traitements d’un animal de compagnie sont budgétivores. Heureusement, il existe des solutions pour diminuer la facture. La première consiste à se tourner vers les écoles de vétérinaires. Dotées d’équipements spécialisés, ces écoles sont la meilleure alternative pour profiter de meilleurs soins à prix bas. Ces lieux permettent d’obtenir des consultations et des traitements pour différentes pathologies.
Les écoles de vétérinaires sont ouvertes en tout temps et disposent d’étudiants tout aussi qualifiés les uns que les autres. L’autre solution pour économiser sur les frais de santé est de recourir aux soins des dispensaires de la société protectrice des animaux, abrégé en SPA. Ce sont des dispensaires qui proposent des soins gratuits. Toutefois, la gratuité des soins n’est pas réservée à tous. Elle est seulement destinée aux foyers démunis.

Avoir les capacités requises

S’occuper des animaux n’est pas chose facile. Engager un expert titulaire est nécessaire. Celui-ci doit avoir une certification professionnelle. Au moins, il doit avoir suivi une formation en vue d’acquérir des compétences relatives aux animaux de compagnie. Ces compétences concernent les soins et la nutrition des animaux.

En tant que gérant, vous devez posséder des qualités relationnelles. Elles vous permettront de partager votre passion à vos clients. En effet, le bien-être des animaux est le principal souci des clients. Ils sollicitent donc souvent vos conseils. En outre, la possession d’une licence est importante. Des inspecteurs contrôlent votre animalerie pour vérifier le respect des règlements.

Faire une étude de marché

Qui sont vos clients potentiels ? Quels sont leur fréquence d’achat ? Existe-t-il des acteurs sur le marché de l’animalerie dans votre zone ? Toutes ces démarches sont nécessaires pour démarrer votre projet. Si vous recherchez un financement, pensez à élaborer un business plan. Il doit présenter toutes les faisabilités de votre projet. Sélectionnez un bon emplacement pour votre animalerie. C’est un élément tributaire de votre réussite.

Et si vous vous implantiez en périphérie ? Le loyer est moins élevé. D’ailleurs, vous disposerez d’une grande surface. De plus, vous pourrez ainsi héberger de nombreux animaux. En même temps, vous stockerez suffisamment vos matériels. Si vous vous placez en ville, privilégiez une zone avec un fort trafic. Vous gagnerez plus de clients facilement. L’important est de choisir un emplacement avec parking. Cela permettra aux clients de transporter leurs achats facilement.

Équiper le magasin d’animalerie

Placez vos étagères de manière à attirer les clients. Pensez à rendre votre magasin plus attirant et chaleureux. Ensuite, achetez les accessoires pour animaux. Il peut s’agir de cage pour les oiseaux, niche pour les chiens, de maison pour chat cosy, etc. Pensez également à la nourriture.

Proposez un panel de produits aux clients. Mettez par exemple des croquettes, des pâtées, ou des graines. Comme tout être vivant, ces animaux ont besoin de compléments alimentaires. Pour cela, optez pour les produits de qualité premium. Vous rassurez vos clients en leur offrant de bons produits.

En outre, mettez aussi des produits de soin. Ce sera un plus par rapport à vos concurrents. Vos clients souhaitent-ils voyager avec leurs animaux ? Proposez des offres de boîte de transport. Pourquoi pas des arbres à chat ? N’oubliez pas les litières et les gamelles. Le confort est essentiel au bien-être de nos animaux de compagnie.

Préparer des actions marketing

Vendre des accessoires et des animaux est insuffisant pour réussir. Pensez à offrir des services supplémentaires aux clients. Par exemple, des stations de toilettage pour chien, ou des bons de réduction aux clients fidèles. Pourquoi pas une formation sur l’obéissance pour les animaux ? Si vous avez des connaissances en aliments, vendez des produits biologiques. En termes de prix, définissez des tarifs de base. Attention ! Faites en sorte que vos prix s’alignent à ceux de vos concurrents.

Les démarches pour le dressage d’un chiot

Il existe une multitude de techniques pour dresser son chiot afin qu’il obéisse à son maître.

Le dressage à la maison

À la maison, le chiot doit s’adapter au mode de vie imposé par son maître. On peut lui faire appliquer un système unique comme lui régler des heures fixes pour ses promenades du matin, du repas, pour jouer, l’heure où il doit se coucher, pour ses besoins quand et où ? Vous devez faire appel à un professionnel, si nécessaire, en cas de non-disponibilité. Lorsque le chiot fait ses besoins en dehors de l’endroit habituel, il faut éviter les réactions exagérées en lui criant dessus pour ne pas lui faire peur. Appliquer seulement un geste comme taper des mains pour faire savoir que cela ne se fait pas. Lors de l’application du dressage, il faut limiter la zone à laquelle le chiot a accès. On peut choisir d’installer une barrière pour lui faire comprendre que son accessibilité est limitée.

Le moyen de dressage à l’extérieur de la maison

Le chiot a le droit de jouer avec un autre chiot pour plus de liberté et de connaissance en tant que chien. Il faut lui apprendre à ne pas mordre. En cas de morsure du chiot, on doit éviter de le frapper pour se venger. Il est primordial que le chien sache son nom pour mieux faciliter son dressage. On doit le prononcer correctement, à chaque fois que vous l’appelez. Il faut aussi que le chiot soit motivé pour le dressage afin de rendre la tâche plus rapide.

L’endroit et son entretien

Les chevaux ont toujours vécu dans la nature à l’état sauvage. Ils ont donc besoin d’espace pour se sentir à l’aise. Il faut que la pâture ou le pré soit vaste. Et disposer d’abris pour avoir de l’ombre.
Chaque cheval doit avoir son propre box, d’une dimension d’environ 9m2, et contenant 40m3 d’air. Chaque box doit disposer de litière faite soit de paille, soit de papier, soit de chanvre, soit de tourbe, soit de copeaux de bois. Les crottins doivent être enlevés quotidiennement pour ne pas nuire à la santé du cheval. Et la litière changée entièrement chaque semaine. Les box doivent être aussi équipés de mangeoire et de point d’eau.

L’alimentation

Les chevaux possèdent un estomac de grande capacité. Pour cela, la nourriture prend à une importante place dans leur santé. Le cheval étant un herbivore, son alimentation doit être composée d’herbe. Mais il peut aussi être alimenté par des céréales comme l’orge, l’avoine et le maïs. Et des fourrages comme le foin de bonne qualité. Bien verte, inodore et surtout sans poussière ou moisissure. Les chevaux ont besoin de boire beaucoup d’eau. Environ 20 litres par jour, et doublé pendant les journées de forte chaleur.
Les besoins nutritionnels d’un cheval varient selon sa taille, sa race, son sexe. Mais aussi de son état de santé physique et psychologique, de l’activité physique qu’il pratique et de la température extérieure. Il est à noter que les chevaux sont sujets aux coliques. Il est recommandé de donner du foin au moins 2 heures avant la ration de concentrés. Et de repartir la nourriture en trois rations journalières.

Les soins

L’entretien d’un cheval prend beaucoup de temps. Et les faire quotidiennement. Le pansage doit être fait avec des peignes, des brosses et des éponges. Elle contribue au bien-être du cheval, mais surtout permet de vérifier son état corporel. Curer les pieds du cheval et vérifier les ferrures. Elles sont utiles pour protéger les cornes de l’usure. Et de corriger les défauts d’aplombs ou d’origine orthopédique. Les chevaux ont besoin d’activité physique quotidienne comme les promenades par exemple.
Il est aussi nécessaire de consulter régulièrement le vétérinaire pour les vaccinations, le vermifuge, la dentition et les autres maux que peuvent avoir les chevaux. Les vaccins doivent être faits annuellement pour éviter la propagation des maladies graves comme la rage ou la grippe. Le vermifuge quant à lui doit généralement se faire à chaque changement de saison. Et il est essentiel d’examiner les dents du cheval, car ils sont en croissance continue.

Comprendre la psychologie canine pour mieux trouver la solution

Avant d’en vouloir aux meilleurs amis de l’homme, retenez qu’il est dans leur nature de changer de comportement en présence d’un autre individu de même espèce. Cela implique que même le plus docile des chiens va avoir un excès de gel et s’exciter sur place en observant un autre faire des exercices. Ce serait plutôt le contraire qui devrait inquiéter. Au départ, les canidés vivaient en meute et l’interaction était vitale pour la chasse, le combat et la survie en général.

Inculquer les comportements de base à avoir à votre animal

Les chiens sont de nature surexcités à deux ou à plusieurs. Cependant, ils ont également la capacité d’agir de manière individuelle. Ainsi, essayez de demander à chaque animal de prendre sa place dans la meute. La première chose que tout le monde doit apprendre sera de rester sur un point précis dans la maison ou le jardin. Cela peut être un tapis, un transat ou un autre endroit que le chien saura mémoriser. Pour que cet exercice soit possible, il va falloir user de tact, c’est-à-dire de récompense.

Récompenser les chiens pour leurs travails respectifs

Vous aurez à travailler avec deux ou chiens en même temps et leurs récompenses respectives doivent être préparées. Tandis que le premier s’attèle à faire des exercices d’agilité ou d’obéissance. Le deuxième ou tous les autres devront rester tranquilles. Le chien actif sera récompensé en premier. L’autre qui a fait l’effort de se tenir sur place le sera immédiatement.

Pâtées ou croquettes, que choisir ?

Sur le marché et chez les foyers élevant des chiens, les aliments industriels sont très appréciés. Que ce soit les croquettes ou les pâtées, les chiens les adorent et ils permettent aux maîtres d’éviter de cuisiner chaque jour pour leurs animaux de compagnie.
Les croquettes sont ce qu’on appelle des aliments secs pour chiens, tandis que les pâtées sont dans la catégorie des aliments humides. Ces deux types d’aliments sont faciles à doser pour le maître, c’est pourquoi ils sont particulièrement plébiscités. De plus, ils sont fabriqués pour offrir au chien la quantité de nutriments essentiels à son développement au quotidien. Il faut toutefois être très respectueux des indications qu’il y a sur l’emballage de la croquette pour chien ou de la pâtée.
Quelles différences entre les croquettes et les pâtées ? Les croquettes pour chien sont plus riches en glucides et en protéines alors que les pâtées ont une teneur en lipide plus élevée. Les croquettes pour chien peuvent être consommées toute la journée même si elles sont exposées à l’air libre. Ce qui n’est pas le cas des pâtées. Ceci étant, les pâtées ont meilleur goût et ouvrent l’appétit de l’animal. En tout cas, si vous ne donnez que des croquettes à votre chien, il faut prévoir un bol d’eau en permanence.

Les autres alternatives

Si vous avez le temps, il est possible de donner de la nourriture faite-maison à votre animal de compagnie. Il ne doit pas s’agir de restes d’aliments, mais de nourriture concoctée rien que pour votre chien. Le repas de votre animal doit être équilibré pour assurer son développement. Prenez ainsi le temps de doser et de peser les ingrédients du repas de votre chien. Pour préparer un plat cuisiné à votre animal de compagnie, privilégiez la viande. Malgré tout, ne négligez pas les légumes et le poisson. Donnez aussi à votre chien une petite quantité de féculents et rarement de céréales.
Le BARF est un autre concept d’alimentation pour chien. Il s’agit de lui donner exclusivement de la nourriture crue, et jamais d’aliments industriels. Dans ce cas, la viande peut-être dépourvue d’os, mais accompagnée de légumes et de lipides.

Atteint de l’un des principales maladies

Il faut observer si votre canin n’est pas atteint par l’un des principales maladies suivantes.
La maladie de Carré qui est très contagieuse aux autres chiens. Il se manifeste en cas de forme aigüe par la conjonctivite, le jetage oculaire et nasal, la toux, les pustules sur la peau, le vomissement, les crises convulsives et les troubles neurologiques.
L’hépatite infectieuse, c’est une maladie due à un virus et se transmet par contact de la salive, des selles ou de l’urine. Les chiots peuvent en mourir. Vous pouvez la reconnaître par des amygdales gonflées, de jaunisse et saignements des gencives, de la fièvre, des vomissements, des diarrhées.
La parvovirose qui provient d’un virus très résistant, le parvovirus canin (CPV). La contagion à d’autres chiens est très rapide par le biais des selles. Cette maladie a des symptômes très virulents comme la fatigue et déshydratation, la fièvre, les vomissements, la diarrhée hémorragique caractérisée par une odeur très forte.
La rage entraine la mort du chien seulement quelques jours après l’apparition des premiers symptômes. Un chien enragé est une menace pour l’homme. Il n’y a pas de remède à cette maladie, seulement la prévention par la prise de vaccin. Un chien enragé se reconnaît par des changements de comportement, de problème de déglutition, de salivation et de paralysies. Il devient aussi très agressif.
La toux de chenil, une maladie respiratoire qui est causée par une bactérie appelée Coccobacilles. C’est une maladie extrêmement contagieuse, car elle peut se transmettre par voie aérienne, par contact ou sécrétion nasale. La maladie empêche l’animal de respirer correctement. Si la maladie se prolonge, une rhinite et une pneumonie peuvent apparaître.

Prioriser l’avis d’un vétérinaire

Lorsque vous observez les premiers symptômes, il faut prendre immédiatement un rendez-vous chez un vétérinaire pour identifier la maladie en question. Toutefois, quelques soient les symptômes, que vous les reconnaissez ou non, il faut emmener votre animal chez un spécialiste. Le vétérinaire vous dira les protocoles à suivre et les différents dispositifs à entreprendre.